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Le 5e cavalier en tournage, la websérie qui réserve un sort apocalyptique à Genève

Le 5e cavalier en tournage, la websérie qui réserve un sort apocalyptique à Genève

Le tournage de la websérie fantastique Le 5e cavalier démarre ce dimanche 21 janvier à Genève.

Proposée par Titan Films et réalisée par JD Schneider et Julien Dumont, cette fiction est issue du « Fantastic web contest » organisé par la RTS avec le Neuchâtel International Fantastic Film Festival (NIFFF) pour soutenir les jeunes talents. Pendant trois semaines, les cavaliers de l’Apocalypse s’apprêtent à mettre la cité de Calvin à feu et à sang… Une série de 10 x 7 minutes, à l’univers sombre et visuellement ambitieuse, à découvrir en juillet au NIFFF et sur rts.ch.

Du 21 janvier au 10 février, des Bains des Pâquis au Pont du Mont-Blanc, Le 5e cavalier s’empare de Genève. Cette nouvelle websérie coproduite par la RTS plonge au coeur du genre fantastique avec la fin du monde en ligne de mire.

Le 5e cavalier
Avec Alexandra Marcos, Stephanie Schneider, Georges Syusawa
Production : Titan Films
Suite à une opération de police qui tourne au bain de sang, les dépouilles de gardes suisses pontificaux sont découvertes dans une cave. Alors qu’on cherche à les éliminer discrètement, un surveillant de nuit fait basculer le monde dans l’horreur. Quatre cavaliers fantomatiques sèment la terreur sur leur passage…

Inspirée de la véritable histoire d’un collectionneur genevois qui laissa à sa mort de nombreux objets insolites, dont plusieurs corps de soldats suisses du 19e siècle, la série en dix épisodes va faire sombrer la ville du bout du lac dans l’épouvante. Du quartier des banques au Palais des Nations, les attaques commencent par cibler les symboles du commerce et de la diplomatie… avant la destruction totale et spectaculaire de Genève ?

A la réalisation, JD Schneider et Julien Dumont avec DBFX Workshop (Kennocha Baud), l’atelier spécialisé dans les effets spéciaux. De jeunes créateurs enthousiastes aux ambitions visuelles assumées. Pour réaliser ce pari narratif et esthétique, l’équipe utilise notamment sculptures, moulages et animatroniques. L’apocalypse commence dimanche 21 janvier 2018 dans la région genevoise !

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