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D’après une nouvelle étude sur la génération Z, 52% des Romand·es pourraient envisager une relation non monogame

D’après une nouvelle étude sur la génération Z, 52% des Romand·es pourraient envisager une relation non monogame

Quelle est la position de la génération Z face aux relations amoureuses?

Une enquête menée par Ashley Madison, la plateforme des rencontres extraconjugales, en collaboration avec YouGov, a démontré que plus de la moitié des Suisses romands pourrait envisager une relation non monogame, les plaçant à la tête du classement européen.

 

Une seule personne ne peut satisfaire tous les besoins

Que pensent les représentant·es de la génération Z (personnes interrogées âgées de 18 à 29 ans) des relations non monogames et de la discrétion? Ashely Madison a mené l’enquête, en collaboration avec YouGov, en Suisse ainsi que dans d’autres pays et publie le rapport Décoder la génération Z: un rapport mondial sur la non-monogamie, le sexe et le désir de discrétion. Ainsi, 51% des personnes interrogées pourraient envisager une relation non monogame. La Suisse est donc le chef de file européen en la matière, à côté de l’Espagne. Dans le reste du monde, ce sont le Brésil (62%), le Mexique (59%) et les États-Unis (57%) qui présentent la plus grande propension aux relations polyamoureuses.

Un autre sondage réalisé auprès des membres d’Ashley Madison dans le monde a démontré que 51% des personnes interrogées envisageaient une relation non monogame parce qu’une seule personne n’était pas en mesure de satisfaire leurs besoins sexuels. En outre, 29% des femmes ont avoué qu’une seule personne n’était pas en mesure de satisfaire leurs besoins émotionnels, contre 9% des membres masculins. 21% des femmes ne pensent pas non plus pouvoir être heureuses et monogames en même temps, contre 15% d’hommes.

 

Les femmes sont plus audacieuses que les hommes

Il semblerait que les femmes aient adopté les relations non monogames depuis plus longtemps que les hommes. En effet, 18% des membres Ashley Madison féminins ne sont pas monogames, contre seulement 5% d’hommes. Par ailleurs, les femmes sont trois fois plus nombreuses que les hommes à avoir eu des relations avec une ou plusieurs personnes du même sexe (15% vs 5%). Et deux fois plus nombreuses à avoir eu des relations sexuelles à trois/en groupe avec des personnes de différents genres/identités (7% vs 3%).

 

Vie sexuelle et discrétion

La génération Z rend-elle ses relations publiques? Deux tiers environ (68% de femmes et 65% des hommes) des membres Ashley Madison interrogé·es admettent garder leurs relations romantiques secrètes et ne pas les révéler sur les réseaux sociaux. La plupart ne le jugent pas nécessaire. «Seuls» 56% des Z interrogés dans le cadre de l’enquête YouGov estiment que ce sujet mérite discrétion et respect de la sphère privée.

Et lorsqu’ils décident de rendre tout de même leur relation publique, ils le font principalement pour rassurer leur(s) partenaire(s) vis-à-vis de leur engagement (61%). En Suisse, ils ne sont que 39% à le faire pour cette même raison.

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