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NAO – Le futur du R&B/Funk

NAO – Le futur du R&B/Funk

Cette jeune Londonienne amène un peu de fraicheur dans le paysage musical, et avec un temps printanier il n’en faut pas plus pour se sentir envahi d’un sentiment de douce liberté.

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Qui est-elle ?

Etudiante de jazz vocal, NAO est une jeune chanteuse et productrice londonienne. Elle se fait connaître en 2014 avec son premier EP « So Good », suivi par un deuxième EP très remarqué « February 15 » sorti en mai 2015. Sa collaboration avec A.K. Paul (le frère de Jai Paul) sur la prod de ces derniers fonctionne à merveille et il en ressort une alternative R&B élégante et légère amenant des sonorités plus funky à la musique électro actuelle. 

NAO revient début 2016 avec « Fool To Love », qui nous rapproche un peu plus de la sortie de son premier album dont la date n’a pas encore été communiquée. On reconnaît aisément la patte d’A.K. Paul sur ce morceau, ce qui nous semble être une très très bonne idée.

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Notre critique

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle nous embarque avec une aisance fascinante pour un voyage musical partant des influences Pop 90’s de Paula Abdul « Straight up », aux influences électroniques de Mura Masa avec qui elle a collaboré sur le morceau « Firefly », en passant par la néo-soul d’Erykah Badu « Bag Lady ». 

Avec une voix juvénile combinée à la perfection avec les rythmiques très Pop/R&B 90’s, NAO nous charme et crée l’événement à chaque morceau. Malgré une certaine continuité stylistique, chaque titre fait preuve de singularité, et ce, pour notre plus grand plaisir.

En attendant la sortie de son Opus (dont on se réjouit), NAO risque fort de squatter vos playlists !

[thb_gap height= »20″] Retrouvez February 15 sur Soundcloud ! [thb_gap height= »20″]

On ne résiste pas à l’envie de vous faire découvrir la vidéo officielle du morceau « Bad Blood », superbement réalisée par Ian Pons Jewell, ayant à son actif des vidéos tout aussi poignantes (Vinces Staples « Senorita »), mais aussi plus connues (Naughty Boy « La La La »). 

Les images nous scotchent par la tristesse rêvée d’un monde en devenir. La beauté du désespoir, nourrie d’une note d’espoir, est magnifiée par un visuel en noir et blanc qui laisse transparaître une certaine inquiétude.

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